Le CLC (Conseil pour la Libération et le Changement au Congo), un observatoire de la politique Congolaise basé à Paris délibère les conclusions de ses multiples enquêtes indépendantes croisées menées depuis le 04 Mars et sur la base des confessions des hommes au cœur même du pouvoir. Pas que, quoique.
Les « révélations » du CLC au public Congolais sur l’affaire du 04 Mars se veulent pertinentes et « explosives »
Sous le titre choc résolument en lettres capitales de ” CE QU’ON CACHE AUX CONGOLAIS SUR LES EXPLOSIONS DU 04 MARS 2012 AU CAMP DU REGIMENT BLINDE DE MPILA, A BRAZZAVILLE “, c’est le déshabillement du bilan officiel et de la stratégie mise en place autour de la question qui est mis à l’index.
Sur les traces de Sherlock Holmes, le célèbre espion Anglais ou d’un Colombo, plus près de nous, le CLC nous apprend que le régime de Brazzaville aurait régulièrement violé la résolution 1874 de l’ONU adoptée en Juin 2009 et qui interdit à la Corée du Nord de vendre des armes. On y apprend également que quelques 700 militaires se trouvaient ce jour-là au camp du régiment blindé, ce qui remet en cause le bilan officiel de 282 morts avancé par le pouvoir.
Quelle est la nature des armes qui ont explosé et quelle est leur origine ?
Pourquoi le gouvernement avait-il choisi la stratégie de minimiser ce drame comme son principal axe de Communication ? Qui avait choisi cet axe de communication ?
Pourquoi le Colonel Tsourou a-t-il été accusé dans cette affaire ?
Pourquoi Jean-Dominique Okemba n’est pas inquiété ?
Pourquoi Charles Zacharie Bowao a-t-il dit ce qu’il a dit sur le plateau de Télévision à propos du bilan provisoire ?
Autant de questions auxquelles tente de répondre le rapport du CLC que vous pourrez télécharger en cliquant ici :Ce que le 04 Mars
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