Par : DAC
L’action que mène Mr ROLAND LEVY NITOU et les indignés 242 en vue de faire respecter le Droit et la justice est inscrite dans notre combat pour la restauration de la démocratie. « Boycott / Désinvestissement / Sanctions et manifestation pacifique » initiée à la demande de la société civile loi 1901 est de faire cesser l’impunité dont jouit l’Etat dictatorial du Congo-Brazzaville qui viole systématiquement le Droit International (Résolution du conseil de sécurité de l’ONU), le Droit Humanitaire (Conventions de Genève interdisant les arrestations arbitraires, la séquestration et le bombardements de la région du Pool) et les Droits de l’Homme (pratique de discrimination selon l’origine des citoyens, emprisonnements massifs de résistants).
Il est particulièrement choquant de voir un commando sous les ordres de la garde présidentielle congolaise venir agresser un militant pacifiste, non violent, luttant simplement contre toute discrimination à l’égard d’un peuple quel qu’il soit et défendant le principe du Droit et de la Justice pour le peuple congolais.
Nous constatons également à cette occasion que les autorités congolaises violentes, au vu et au su des autorités françaises, le droit humain de l’Union Européenne en pratiquant un lynchage systématique sur des citoyens libres et pacifiques sur le sol français est un acte répréhensible estampillé « made in Congo » dont le régime sévit sous le signe de la violence et la barbarie.
DAC, dénonce avec la plus extrême gravité cet acte exercé, sans aucun doute, par le pouvoir de Brazzaville, en vue de poursuivre systématiquement en France et ailleurs des militants défenseurs du droit, participant au combat pour la restauration de la démocratie.
Nous exigeons que justice soit rendue à l’encontre du Pacifiste ROLAND LEVY NITOU. Il en va de la possibilité de défendre en France les droits du peuple congolais comme de la défense de la liberté d’opinion et d’expression dans notre pays.
Fait à Lyon le 30 Mai 2018
Jean-Claude BERI
Président du DAC
Roland-Levy Nitou reviens sur le contexte prémédité et politique de son agression, il est interviewé par le panafricaniste Saliou Diallo ami de toujours du Congo.
Gepostet von Sadio Morel-kante am Dienstag, 29. Mai 2018