Par: TONY GILBERT MOUDILOU
A CAUSE DES MBOCHIS POUR LEUR COMPORTEMENT IMMORAL, OBSCÈNE, DÉPRAVÉ, HONTEUX, SCANDALEUX, MALHONNÊTE, ET LEUR MANQUE DE CIVISME, DE PATRIOTISME LES CONGOLAIS NE POURRONT PAS IMMÉDIATEMENT PRÉTENDRE, AU CHANGEMENT QUE TOUS LES PAYS DE LA ZONE FRANC CFA SOUHAITENT.
En politique, il ne faut jamais biaiser avec les mots, les expressions, les anecdotes, les expressions etc… Il faut toujours appeler les choses par leur propre nom : l’assassin par l’assassin, le voleur par « voleur » comme : SASSOU NGUESSO, NDZON, OKOMBI SALISSA, MOKOKO, NSILOU, MABIALA, LE MONSTRE GROSSIER, L’HIPPOPOTAME BOUYA, ONDONGO, AKOUALA, NDJOMBO, TCHIBAMBELA, IBOVI, ADADA ETC…Cette race a tué notre existence, notre République, notre Nation. C’est pourquoi on doit appeler le « i » par « I » et le « o » par le « o ». Et ce n’est pas par hasard si ce grand homme, ce visionnaire, ce savant qui est Jean Pierre Cot ancien ministre du Président François Mitterrand, grand Professeur, juriste : aimait nous dire en DEA à l’Université Paris X Nanterre que : «La politique est une chose trop sérieuse, trop importante qu’il ne faut jamais et jamais la confier ou la mettre dans les mains de n’importe quel prestidigitateur, n’importe quel cancre qui n’en sait pas sa grandeur, sa force, sa puissance et ses exigences ». C’est pourquoi, au regard de ce qui précède, vu l’importance de la matière et de ses enjeux, ce qu’elle engrange, ce qu’elle peut provoquer : les guerres, les révolutions, les putschs etc…, pour moi, le Mbochi, reste et restera toujours le Mbochi. Celui qui a marqué notre histoire politique et l’a écrite à l’encre rouge : le voleur patenté qui a conduit notre pays dans l’abîme, dans une banqueroute que seul le Mbochi peut provoquer.
Donc avec MOUDILOU, il aura bien se muer comme il le fait actuellement avec vous et comme le fait le serpent qui change toujours sa peau. Mais nous savons qu’il n’a jamais changé sa nature mais seulement de peau. Il reste le serpent. Il a beau joué au jeu du caméléon, prenant toujours les couleurs du milieu où il se trouve. Il restera toujours le caméléon. Ou pire jouant au jeu de la tortue : d’un côté la carapace, de l’autre la carapace, elle est toujours la tortue. Le Mbochi a beau se rouler dans de la farine, dans l’huile de palme, la mère poule que je suis et que je reste ne l’oublierai jamais. Je n’oublierai jamais tous les maux que cette espèce de race a provoqués, le séisme économique, social et politique que ces énergumènes ont créés dans notre pays. Quelle que soit sa couleur, sa transhumance, il reste toujours le Mbochi : malfaisant, répugnant, exécrable et ignominieux. C’est le ripou de notre société, le malfaiteur, le criminel, le vampireux, le voleur, le malfaiteur, la chose sans importance parce que : mettre notre pays dans l’état où il l’a mis ; lui le Mbochi en faisant autant des victimes, des déshérités, des parias, des errants, des malheureux, des orphelins, cassé des mariages : je reste sans voix. Je n’arrive pas à trouver les mots qu’il faut pour qualifier ces cafards. Je crierai toujours sur eux et ne leur accorderais aucune circonstance atténuante, aucune excuse et aucun pardon. Ils sont des êtres abjects, répugnants. Ils sont des sauvages et rien que des sauvages. Un point c’est tout. Chez moi on dit :
« WO TA BANDAMANA KA TA TINA NTSONI KO, KA NGUE KUA TA TALA NI NGUE TINA NTSONI. HU HU KANI ». Autrement dit (Celui qui te montre son derrière, ses fesses n’éprouve aucune gène, aucune honte ; ce n’est pas celui qui regarde qui l’éprouverait).
SI LES CONGOLAIS VEULENT DES BROUETTES A PLACE DU PORTE-MONNAIE POUR ALLER JUSTE ACHETER UNE BOITE D’ALLUMETTES, ALORS RÉJOUISSEZ-VOUS POUR LE CHANGEMENT DU FRANC CFA AU CONGO AVEC AU POUVOIR LES MBOCHIS. ALORS VOUS N’AUREZ RIEN VU DE CETTE RACE ET RIEN COMPRIS !
LES MBOCHIS PENSENT QUE MALGRE CE QU’ILS ONT FAIT ? ON DOIT LES CARESSER DANS LE SENS DE LEURS POILS. NON C’EST TROP DEMANDE COMME SACRIFICE AUX CONGOLAIS !
Que les congolais ne s’enthousiasment pas trop. Car ce qui est bon ailleurs ; ce qui réussit, chez les autres, dans d’autres pays qui ont à la tête de leurs Etats des hommes civilisés : n’est pas automatique au Congo de Marien. Ailleurs, ils s’en sortent déjà avec le CFA que nous décrions aujourd’hui. Ils s’en sortiront demain avec ou pas une nouvelle monnaie car ils sont des hommes et des femmes civilisés, responsables et conséquents et qui savent ce qu’ils veulent et où ils veulent aller. Ils sont consciencieux, démocrates, patriotes, républicains et nationalistes. Ils aiment leurs pays. Ils respectent les conventions, les textes et les Lois qui régissent leurs Etats, leurs Républiques ; ce qui n’est pas le cas chez nous au Congo où les singes, les primitifs, les sauvages ont aspergé leur état primitif sur la civilisation. Ces puces, ces cafards qui manquent de civisme, d’amour propre et d’amour pour leur pays ; nous ne devrons plus encore leur faire ce privilège de nous annihiler, de nous détruire de nouveau.
Demain encore, avec les changements qui pourraient intervenir sur cette monnaie, ils s’en sortiront encore plus et mieux encore. Mais pas au Congo où Sassou et sa cohorte de sauvages pourraient installer des usines de fabrication de la fausse monnaie chez chaque nordiste, provoquant ainsi une véritable inflation qui partirait tous les jours du Congo et mettrait en mal les autres pays qui eux, cherchent à s’en sortir.
Regardez aujourd’hui, sur quel pays tire le FMI ? Le Congo Brazzaville. Nous sommes le plus mauvais élève de la CEMAC. Tenez la dernière réunion qui s’est tenue à Ndjamena, sur qui étaient dirigés tous les tirs croisés ? Sur le Congo qui risque d’entrainer sur sa chute vertigineuse et spectaculaire toute la zone CEMAC. Quelle risée, quelle honte que de cohabiter avec ces mercenaires venus de on ne sait où ? Nous congolais, on sait que tant que ces sauvageons resteront à la tête de notre Etat, c’est toujours la singerie, la jonglerie des primitifs qui prendraient le dessus sur l’intellect et la sagesse.
Aujourd’hui comme hier, nous sommes obligés de demander à nos amis qui veulent bien aller investir au Congo d’attendre le beau moment quand il y aura des vrais dirigeants que nous serons. Pas en ce moment où les singes grimacent encore sur les branches d’arbres. En même temps, nous demandons à la France de nous garder encore sous son joug, ça vaut mieux au cas où elle veut libérer les autres pays. Au moment où il y a une forte monnaie, avec le grand regard inquisiteur de la France, nos bourreaux ont réussi à ramener notre pays à l’âge de la pierre taillée. Combien de fois quand ils auront la primauté et l’exercice, d’imprimer, de fabriquer cette monnaie locale. Elle ne sera plus garantie ni gérable. Ils vont monter des Usines de fabrication de la fausse monnaie partout, dans chaque case de Talangaï, Poto-Poto, Mpila ; ce qui fera de notre pays la première puissance faussaire du monde.
Pourquoi le Congo est le seul le pays où qui n’arrive pas à s’en sortir, où la vie devient ingérable ? Parce que les sauvages ont pris le déçus sur la civilisation. Comment peut-on imaginer le comportement de ces gens là ? Avec ça, ils ne se gênent pas. Ils s’en accommodent énormément. Ils en sont fiers. C’est à peine croyable d’imaginer cela chez le Kongo où le respect de la chose publique est un sacro-saint.
COMME CHEZ LES AUTRES : LES AUTRES PAYS DE LA ZONE FRANC, L‘ETAT EXISTE ALORS ILS N’ONT PAS BESOIN DE S’INQUIETER. MAIS PAS AU CONGO BRAZZAVILLE OU LES SINGES SONT VENUS TUER LA CIVILISATION POUR LA REMPLACER PAR LEUR ETAT ET LE COMPORTEMENT DE PRIMITIFS.
Quand on va à l’Ouest de l’Afrique : au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Togo, au Bénin la Notion de l’Etat existe dans toute son ampleur. Quand on descend au Centre de l’Afrique : au Cameroun, en Centrafrique, au Gabon et au Tchad, il y a une apparence. On ne peut même pas parler de l’évolution en dents de scie. Il n’y a même pas un semblant. Et le creux du nœud c’est le Congo. Le Congo avec ses sauvages, ces primitifs, qui étaient venus semble-t-il changer la notion même du temps. Le Congo convulse. Il est aujourd’hui méconnaissable à cause des arrivistes partis de la forêt, du bord de l’Alima : longer tout le long du fleuve Congo jusqu’à atteindre la civilisation, à Brazzaville. Mais malgré la cohabitation avec la civilisation, ils sont incapables de se transformer, de changer, même pas de peau comme le serpent. Ou même de faire semblant comme le caméléon. Ils sont venus tout chambarder, tout travestir, dépraver, changer. Ils ont même changé le jour en nuit. Le sourire en pleurs. Au Congo Brazzaville, l’Etat n’existe plus. Nous sommes dans une véritable jungle ou les civilisés s’entremêlent avec les sauvages et tout est devenu inextricable. On ne sait plus qui est qui et qui fait quoi au Congo des Mbochis.
C’est vrai que nous aimerions bien nous affranchir du joug néocolonialiste français car on nous exploite trop. Mais est-ce que le Congo, est-il prêt ? Tant que nous aurons à la tête de notre Etat ces faussaires, ces prestidigitateurs, ces voleurs, ses paresseux qui préfèrent voler à la place de développer, d’innover, de créer, on doit s’abstenir à faire comme les autres pays : chercher les changements de la monnaie. Ça serait illusoire. Aujourd’hui, toi l’homme du Sud, essaie seulement de laisser ton enfant dans les mains de Sassou Nguesso, à ton retour, tu viendras le trouver mort. Sauvagement étranglé car Sassou lui tordra le cou. Ce que nous vivons aujourd’hui dans notre pays devrait nous ramener sur terre. Alors que tous les pays s’enthousiasment, rigolent, se réjouissent, vaquent paisiblement à leur boulot, les enfants à l’Ecole ; chez nous chaque jour, chaque seconde suffi sa peine. C’est tout un fleuve de soucis et d’angoisse devenus pernicieux. C’est une interrogation et de véritable incertitude. On ne sait plus comment va naître demain. Est-ce qu’on va manger ou si mon enfant tombe malade, pourrait-il en survivre ? Voila le Congo que les Mbochis, les Mbochis rien que les Mbochis sont venus nous imposer.
LE PROBLÈME DE LA MONNAIE EST UN PROBLÈME DE SOUVERAINETÉ, D’INDÉPENDANCE, D’AUTORITÉ SUPRÊME DANS UN CORPS POLITIQUE.
Il y a ici un problème d’inaliénabilité, de non atteinte à la force de l’usufruitier, du souverain, du propriétaire légal et légitime de la richesse d’un pays. Or Sassou Nguesso a dépossédé toute souveraineté à celui qui l’incarne, le peuple congolais qui est devenu un simple spectateur de ses biens, de sa richesse, de son usufruit, de son patrimoine : en un mot de sa souveraineté. Il y a très longtemps que le congolais végète dans le néant. Tout lui échappe, ne contrôle plus rien de son patrimoine. Il ne sait plus combien de barils de pétrole sort-il de son sous-sol ? Le congolais ne sait plus exactement à combien s’élève au centime près le montant de son budget voté cette année. En un mot, le vrai Congo, celui dans lequel tout fils d’un pays est sensé se connaitre ; pas le Congo de Marien, le congolais ne sait pas qui est qui. C’est abominable, c’est infâme, abject, blasphématoire, dégradant, odieux, avilissant, indigne, ignoble ; c’est une véritable flétrissure, une horreur.
Si dans d’autres pays, les populations pourraient s’enthousiasmer car en effet, il n’est pas normal que la France se tape la part de gain sur l’Afrique et dire à ses enfants qu’ils sont pauvres alors que c’est elle qui les sucent et jettent au loin leur peau comme on en ferait pour une orange. Au Congo, ce n’est pas permis. Nous savons depuis la nuit des temps que ce qui va mieux chez les autres, au Congo, ça ne pourrait être le cas. Là où les autres Etats vont utiliser le porte-monnaie pour mettre leurs billets afin d’aller faire des courses, au Congo, nous aurions à utiliser des brouettes pour rien qu’aller acheter une baguette de pain, une boîte d’allumettes car il y aura tellement d’inflation qu’on regrettera de s’être fait avoir. Ce qui fera en même temps le nid du Mbochi qui lui, s’en foutra. On parlera d’une Inflation, oui parce que tout Mbochi aura chez soi, sa petite machine, son usine pour fabriquer de quoi aller polluer l’atmosphère car il y aura trop d’argent en circulation. Et toute la CEMAC va se rabattre sur nous. On va encore nous injurier, nous traiter de tous les maux et on dirait qu’on n’est pas cohabitable.
LA GRANDE DIFFÉRENCE ENTRE L’OUEST ET L’AFRIQUE CENTRALE.
- EN AFRIQUE CENTRALE ET NOTAMMENT AU CONGO-BRAZZAVILLE.
C’est surtout là où j’attire l’attention des intellectuels congolais, les vrais, à ne pas s’embarquer sur le chemin tortueux que les illettrés du PCT avec à leur tête l’usurpateur, l’imposteur Sassou Nguesso aimeraient embarquer notre pays encore une fois. Les choses sont très complexes avec le Congo où les Mbochis n’ont jamais aspiré au changement de notre pays. Vous verrez qu’avec eux, ce changement du Franc CFA qui serait salvateur pour d’autres pays, se transformerait en cahot, en cauchemar pour le Congo où les primitifs n’ont aucune notion, aucune conscience, aucune éthique de dirigeants. Ils sont tout simplement des irresponsables car ils ne savent pas pourquoi sont-ils à la tête d’un Etat et ce qu’on y fait pour sa population. Ils vont eux, se contenter de fabriquer en cascade de la fausse monnaie, ce qui provoquerait un vrai fiasco pour notre pays et toute la zone CEMAC. Nos lendemains seraient incertains : hypothéqués. Est-ce que nous voulons ?
Allez à l’Ouest de l’Afrique : au Sénégal, au Bénin, au Togo, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Burkina : tout le monde se prépare au cas où pour parer à toute éventualité ; on ne sait jamais car gouverner c’est prévoir. Abidjan comme partout à l’Ouest, les responsables politiques consciencieux du devenir de leurs peuples, font tout et mettent tous les mains dans le cambouis pour prévenir ce qui pourrait arriver. Ils sont unis pour vaincre l’adversité.
Avec plus des moyens que l’Afrique centrale engrange, c’est un véritable cafouillis. On ne sait pas par où commencer. On se bat encore un peu partout pour le pouvoir. Et comme pour la plupart ce sont des cancres ramassés par ici, par là, donc ils ne savent ce qu’il y a lieu de faire. La malédiction qui s’abat dans cette zone laisse penser que trop de sang coule dans cette zone pour que Dieu, trop fatigué a fini par leur tourner son dos et aller voir ailleurs.
Là où les Ouest-africains apprennent, arrivent à se débrouiller, à jongler avec leur peu de moyens pour donner le minimum à leurs concitoyens, en Zone CEMAC, c’est la débandade, le cahot. Trop de truands traînent par là. C’est le déséquilibre, c’est l’instabilité totale. A l’Ouest, on ne pourrait jamais imaginer ce qu’ont fait ces gens en se débrouillant. A Abidjan où le Président Ouattara est venu même emprunter plus de 400 Milliards de F. CFA au Congo, il opère des miracles, des réalisations à en couper le souffle. Et au Congo, que fait-on ? Les Mbochis volent, pillent leur propre pays. Mais comment est-ce possible ? Comment peut-on faire cela à son propre pays : à son peuple qu’on dépossède, dessèche et laisse à la merci des corbeaux et des hérons ? Qui peut le croire, qui peut imaginer une telle abominable et cruelle ignominie des dirigeants congolais qui ne sont là que pour le pire ?
Que ces animaux se soient accaparés de tout le Trésor, amené toutes les finances de tout un Etat chez eux. Construit même des cimetières en guise des Banques rien que pour cacher et tromper la vigilance d’un peuple qui reste hagard. Leurs maisons renferment des milliards à vous couper le souffle. Qui au monde peut faire cela, avoir une telle attitude contre son propre pays ? Seul le Mbochi est capable d’un tel comportement. Et ce sont ces gens qui aujourd’hui continuent à aspirer à aller toujours vers la politique ? Mais pourquoi faire dit donc ? Je vois vraiment qu’ils sont des animaux sinon, ils auraient tiré les leçons de leur infamie, de leur forfaiture, de leur flétrissure. Mais comme les animaux ne réfléchissent pas, ne savent pas ce que c’est que le mal ou le bien, alors ils croient être en phase avec la morale et leur conscience est tranquille.
« Si les palmiers sont devenus géants, c’est qu’ils ont toujours été bien taillés par leur maître » ; Fulgence Milandou, Membre du Parti Congolais du Travail à la Conférence Nationale Souveraine.
Aujourd’hui avec l’œil inquisiteur, bienveillant ou malveillant pour ne pas dire complice du néocolonialiste français, Sassou Nguesso et tous les responsables Mbochis se gaussent, ils n’ont aucun souci à se faire. Ils sont bien protégés. Mais le souverain veille et pointe.
J’ai parlé !
A Paris le 30 janvier 2019.
Maître Tony Gilbert MOUDILOU
Maître Tony Gilbert MOUDILOU.