« Bedel Baouna le petit » un arriéré mental !

DAC PRESSE vous livre les impressions des lecteurs qui se sont offusqués de l’article de Bedel Baouna.

N’est pas Moungounga Nkombo Nguila qui veut.

Bonté divine ! Au Congo, on peut se passer des dix commandements de Dieu si l’on s’appelle Bedel Baouna et, profiter de ce triste privilège pour oser ce que seuls les cons peuvent oser faire et c’est en cela qu’on les reconnaît car, les cons ça ose tout : s’attaquer sans vergogne à la mémoire d’un illustre homme politique congolais défunt nommé Moungounga Nguila. Quelle étroitesse d’esprit accablante !

La méchanceté suppose un goût à faire du mal ; la médisance est le soulagement de la malignité ; les mauvaises paroles sont dites par les hommes mauvais et les hommes mauvais tiennent des propos mauvais. Il faut donc absolument être un nain d’esprit, un minable, un ignoble tel « Bedel Baouna » pour écrire des choses ineptes et grotesques au sujet d’un mort. Et dire qu’il se croit intelligemment intelligent ce nabot inapte à la danse de l’esprit.

Honte donc, à Bedel Baouna, cet inculte politique sans éducation qui urine alors qu’il est couché. Paix à l’âme de Nguila Moungounga Nkombo, dont la passion pour le Congo et la constance dans les idées ont édifié plus d’un. Mais nous ne Laisserons pas le chien ou les chiens aboyer après son ombre même si c’est leur nature.

« MOUNGOUNGA-NGUILA : retour sur une phrase assassine » (sa fameuse réplique à un député : « J’ai attendu 27 ans, maintenant c’est mon tour, tais-toi…» article de Bedel Baouna publié le 10 mai 2013 sur Congopage.com.  Un piètre article d’un piètre journaliste s’il l’est, car  son talent journalistique ou d’essayiste ne dépasse même pas la longueur de son article. C’est tout simplement pathétique !

Contre-productivité

Ce qui frappe d’abord dans cet article indigeste, c’est le gros mensonge de Bedel Baouna, sur le déroulement des évènements et, sur la formulation de la phrase qu’il attribue à Moungounga. « J’ai attendu 27 ans, maintenant c’est mon tour, tais-toi…» alors que ce dernier, de son vivant, n’avait jamais employé pour cette occasion, le terme de « JE » et, il avait argué : « nous avons fait l’opposition pendant 25 ans, nous n’avons pas été à l’origine de quelque violence que ce soit. Il faut que l’opposition, que j’avais en face de moi, s’assume de manière responsable ». Les propos de Moungounga Nguila Nkombo ont été enregistrés. Vous pouvez les trouver sur les bandes de la radio et de la télévision congolaise sinon, Cf le livre de Nguila Moungounga Nkombo : Mon combat politique (entretiens avec Jean Saturnin Boungou préface de Félix Bankounda-Mpele chez l’Harmattan). Mais le plus scandaleux, c’est que dans le griffonnage de Bedel Baouna, est l’Upads présenté comme « Un parti satanique… » et, le défunt ministre Nguila n’est pas considéré comme un être humain, un compatriote, un homme politique incorruptible et d’une opiniâtreté sans faille dans ses convictions jusqu’à dans sa sépulture hors du Congo souillé par le pouvoir de Brazzaville. Pour Bedel Baouna, ce n’est qu’un « élément perturbateur » affublé  de « vice-président du Congo… celui qui, de façon solennelle, fit triompher le vol et l’intérêt personnel… » Quel rude ilotisme !

Si Nguila avait fait triompher le vol, que dit Bedel Baouna de Mr Sassou qui est empêtré dans les histoires des BMA (Bien Mal Acquis) et qu’est-ce qu’il attend pour publier le patrimoine immobilier de Moungounga ? Le clan Sassou possède à lui tout seul, 118 comptes bancaires rien qu’en France c’est connu de tous.  Moungounga en possède combien au Congo et à l’étranger ?

« Moungounga-Nguila, par sa phrase, donna un coup de poignard à l’embryon démocratique » Bedel Baouna. Qui peut croire un seul instant que le Congo ne tourne pas rond…Nous allons de guerres en épidémies, de famines en génocides… De tant d injustice et d’atrocités qui continuent à se produire sur l’incertain chemin d’avenir au Congo … La démocratie sans le peuple et le peuple sans la démocratie au Congo etc. Et que tout cela, c’est de la faute de Moungounga ? Voilà ce qui me dérange dans cette curée insipide de Bedel Baouna qui est quand même le comble de la contre-productivité d’une cabale contre Nguila et l’Upads organisé par un cracra d’esprit. Bedel Baouna n’est qu’un petit. Je le dis et, je le répète, qu’il raccroche l’écriture ce sera une chance pour lui et pour le Congo.

Hier et aujourd’hui, au Congo, un jeune étudiant nommé Norbet Boungou a perdu sa main droite pour n’avoir revendiqué rien que sa bourse. Ce qui est son droit le plus légitime… Les enseignants sont en grève depuis plus de 3 mois motif revalorisation et paiement de leurs salaires… Au même moment, notre maman national mère Antou Sassou Nguesso a organisé à coup des millions d’euros son anniversaire à Saint Tropez en France …Tout cela est-ce la faute de Moungounga ? Pourquoi « Bedel Baouna le petit », se trompe t-il de cible au sujet du plus grand élément perturbateur du Congo qui est un homme qui s’appelle le Général  Sassou Nguesso ! Est-il avec les bourreaux ou avec le peuple congolais qui ploie sous une occupation interne ?

Inculture politique et culture de la haine

« L’UPADS, en vérité, est née de la haine de l’autre et dans la haine de l’autre. La vengeance demeure sa botte secrète. Un parti satanique, donc. L’UPADS, c’est l’obsession de la Fatwa contre le Lari ; l’UPADS, c’est le terreau des ayatollahs du tribalisme… » Bedel Baouna.

Évidemment, face à des propos bêtement tribalistes, haineux, diffamants et calomnieux, l’argumentation est inutile. Bedel Baouna n’est qu’un abruti. Et, je donne raison à Ta Nkéoua qui disait : « l’intelligence c’est comme un parachute, quand on n’en a pas on s’écrase » et, « Bedel Baouna le petit » s’est écrasé dans  un asile car son cas relève assurément de la psychiatrie lourde au vu de l’anamnèse que nous a fourni son article qui traduit une pensée idiosyncrétique désorganisée (pensée du schizophrène se manifestant par l’absence des limites entre le signifiant et le signifié, se muant en pensée diffluente). C’est un fou furieux et haineux. Vite ! Dans la Camisole de force.

Je suis en accord avec Alexis de Tocqueville, que « Bedel Baouna le petit » a cité dans article et qui, écrivait dans son inventaire des dangers de la démocratie : «  J’avoue que je redoute bien moins…l’audace que la médiocrité des désirs. ». C’est tout dit sur « Bedel Baouna le petit ». Il a l’audace d’avoir l’outrecuidance de cancaner sur Moungounga et l’Upads et,  n’a aucun talent, aucune idée sur rien à propos du Congo, de l’Upads et, de son parti (lequel ?) qu’il n’arrive pas à faire émerger à cause tout simplement, de ses médiocres désirs de haine tribale. Et, pire, c’est lui qui veut donner des leçons de morale à Nguila, à l’Upads et à toutime.

« Il faut être haineux, revanchard à jamais pour oser prononcer une phrase d’une telle ignominie : J’ai attendu 27 ans… Abdoulaye Wade a attendu combien d’années avant d’accéder au pouvoir ? Nelson Mandela a attendu combien d’années avant de rassembler le peuple sud-africain ?» Bedel Baouna.

Pour sa gouverne, lui qui parle très maladroitement de Mandela, il faudra qu’il sache que quand Mandela est arrivé au pouvoir en Afrique du Sud, il n’avait pas eu à faire face aux barricades érigées à Prétoria par son opposition. Moungounga, Lissouba et l’Upads dès leur accession à la magistrature suprême, ont eu à faire face aux barricades érigées par Mr Kolélas et Cie  à Bacongo et ailleurs. Sans les barricades Mandela avait pu dans la paix, la sérénité et l’entente cordiale, rassembler les Sud africains mais, avec les barricades, la haine, les manipulations politiciennes, Nguila et l’Upads, ont fait preuve d’une habilité politique pour rassembler les Congolais pour preuve, le sieur Kolélas à bien fini Premier ministre de Lissouba. Au fait ! «  Bedel Baouna le petit » pourrait-il expliquer aux Congolais que nous sommes où sont passées les barricades à Bacongo depuis que Sassou Nguesso est au pouvoir depuis juin 1997 alors que ce dernier a perpétré un génocide de nos très chers compatriotes dans la région du Pool, sans omettre l’affaire du beach etc.  Hein ? Sassou et le PCT au pouvoir c’est pour Bedel Baouna et Nguila et l’Upads ce n’est pas bon pour le pouvoir. Je vous ai compris.

Les méchants envient et haïssent, c’est leur manière d’admirer. Je ne saurai remercier voir, comment le revaloir à « Bedel Baouna le petit  » de louer inconsciemment Moungounga Nguila Nkombo car l’homme, savait ce qu’il voulait, il savait les attentes du peuple congolais, il avait ensuite le courage de le dire, et l’énergie de le faire.

Le vrai problème avec cette phrase de Nguila, c’est que juste ou pas, selon l’inculture politique caractérisée de « Bedel Baouna le petit », elle reflète l’opinion de beaucoup de Congolais qui la perçoivent comme une terrible et incontournable vérité dans un pays réellement démocratique. Il s’agit de l’ALTERNANCE POLITIQUE. Sauf pour « Bedel Baouna le petit » qui préfère la démocratie frelatée au Congo made Sassou et donc, pour lui, la phrase de Nguila n’a pas de sens. Quelle courte vue ! Disons mieux, quelle cécité politique. Remarquez ! Pour comprendre la phrase de Moungounga ou son combat politique, il faut avoir une flexibilité cognitive. Et, croyez-moi, j’ai compris qui est « Bedel Baouna alias le petit ». Pardon ! Qui me dit « Nyang l’autre » !  Bon j’arrête.

Moungounga aimait les Congolais, qu’ils soient idiots, idiots utiles et, il s’est battu de toutes ses forces pour faire accepter à d’autres Congolais allergiques à la démocratie tels « Bedel Baouna le petit », la noble idée de l’alternance politique inscrite dans notre constitution « Nous avons attendu 25 ans, attendez votre tour… » C’est son droit. Que « Bedel Baouna le petit » se conduise en Idiot utile pour le Congo, c’est son droit aussi, mais qu’au moins, qu’il épargne Nguila, ainsi que les autres Congolais, de la culture de la haine enfouie en lui et, qu’il refoule ou qu’il projette sur les autres compatriotes. Et, qu’il ne fasse pas passé son ignorance et son incompétence pour des doctes qualités de la société ou de la politique congolaise. Comme disent les kugni : « Il ne faut pas grimper au mat du village avec un derrière pas très propre ».

« A quoi donc va servir le Congrès de l’UPADS ? Ce ne sera, à priori, qu’un énième divertissement entre fondamentalistes…. D’ailleurs, ce serait une gravissime faute des Congolais si ce parti revenait un jour au pouvoir… » Bedel Baouna.

Visiblement, L’Upads pose un vrai problème à « Bedel Baouna le petit » Pourquoi ? Là encore, j’ai compris la bête. Son problème c’est le pouvoir. Il a très peur que l’Upads revienne au pouvoir. Sur ce seul point, il n’est pas sans savoir qu’une Upads unie, rassemblée est le seul parti de l’alternance au Congo donc, il faut à tout prix empêcher l’organisation du Congrès unitaire de l’Upads. Voilà le vœu ou la mission de notre aboyeur sur Congopage.

Alléguer s’agissant de l’Upads que « La parenthèse 1992-1997 s’est définitivement refermée dans le livre d’histoire du Congo » est très présomptueux de la part de « Bedel Baouna le petit » car en politique, il ne faut jamais dire plus jamais. A-t-il les facultés de le comprendre !

« J’ai attendu 25 ans c’est maintenant notre tour…attendez le vôtre  » Cela s’appelle L’ALTERNANCE EN POLITIQUE en démocratie. L’Upads prend son mal en patience. Si demain, il y a des élections transparentes au Congo,  l’Upads reviendra au pouvoir. « Bedel Baouna le petit » le sait et c’est ce dont il a peur. Qu’il soit rassuré que l’Upads et moi-même, ne sommes ennemis de personne car nous sommes tous avant tout, des Congolais et, le Congo nous appartient à nous tous. Il est un et indivisible.

Quant à Moungounga, il est naturellement, le Nec plus ultra du genre « d’homme politique » qui manque cruellement au Congo d’aujourd’hui pour changer la vie des Congolais. Un vrai PATRIOTE.

Simplement, laissons Nguila tranquille là où il se repose ! Paix en son âme.

Wallys KIMBATSA